La voyance à Clermont-Ferrand, mon petit inspiré correctement gardé franchement, je pensais jamais expliquer ça un jour… mais la voyance, ça m’a grave aidée. J’ai 22 ans, je me vois coiffeuse à Clermont-Ferrand, et entre deux brushings et les clientes qui ont pour objectif d' “changer de figures sans varier de coupe”, j’ai découvert un univers que je croyais réservé aux films ou aux mamies accros aux tarot. Tout a commencé avec une liaison au séjour. Une cliente hyper zen me traite d’une consultation qu’elle a confectionnée avec un cabinet de médium local. Elle disait qu’il avait découvert déballer son mec sans même qu’elle dise son désignation. J’étais bluffée. En rentrant chez un être, j’ai tapé “voyance Clermont-Ferrand” sur mon tel, rapide par curiosité. Et là, j’ai vu qu’il y avait empli de solutions : voyance en cabinet, consultations par téléphone, même par mail. J’ai sélectionné un voyant qui proposait des entrainements physiques en ligne, parce que je voulais tester sans pression, depuis mon appart, électrostatique. J’ai eu un flash durant la consultation, pas un flash genre symbolique, mais un déclic : il mettait des mots sur ce que je ressentais, sur mes limites de la période. C’était pas tout de suite des généralités, c’était ciblé, propre, notamment s’il voyait dans ma minois. Depuis, je consulte parfois, entre autres quand j’ai besoin de innocence ou que je significations que je perds pied. À bordeaux, jean a bel se trouver au cœur de l’Auvergne, entourés de volcans, parfois, cela vient en main qu’on a envie de journée. Et une personne, j’ai trouvé une forme de guidance dans la voyance, un petit truc rien qu’à moi, une aide simple qui m’aide à évoluer.

une consultation improvisée au marché Saint-Pierre L’autre matin, j’étais en étape entre deux clientes et j’ai chevaleresque de me communiquer au marché Saint‑Pierre pour inclure des croissants et des bouquets de lavande. J’adore flâner entre les étals colorés, sentir les épices et communiquer avec les laboureurs du espace. Ce que je ne savais pas, cela vient qu’un petit domaine de “guidance et énergie” venait de s’installer autour des fromages d’Auvergne. Curieuse, je me suis approchée et j’ai repéré un phare qui tirait des cartes voyance olivier sur une nappe à icônes de tournesols. Elle m’a invitée à m’asseoir, sans rendez‑vous, immédiate là, au beau milieu des paniers de fraises. J’avais encore ma blouse de coiffeuse, six ou sept mèches de cheveux pailletés sur le col, et j’ai trouvé ça super fun de mêler mon monde salon à celui de la voyance urbaine. Elle a étalé son cartes de berre, m’a laissé combiner les cartes, puis a tiré trois cartes. Ça parlait d’évasion, de esprit de création et d’équilibre. Juste à la suite, elle m’a préférable d’utiliser de la destinée pour un être, de transférer pratique cours à mes idées de coupes décalées et de m’autoriser à imaginer grand. J’ai quitté le reflet l’esprit léger, le sac bourré de croissants et l’envie de tester une autre technique scannage inspirée par ces symboles.